Union de François et Camilla. (Tout le monde)

* Regarde La Scène qui se déroule *
* Petit sourire au bord des lèvres*
* N'interviendra pas ... *
* Préfère Protéger Isabelle d'un soucis quelquonque *
* Regarde autour de lui *
* Voit les Courtisans Piailler et Raconter tout les ragots possible *
* Lève les yeux au ciel *
* Voit le Duc , Sans voix , La Reine ... Le Roi *
La Séduction reste Le Plus Beau des Dangers .
* Fixe Le Roi Quelques secondes*
Peut être fait t'il une erreur ... Mais Le Duc N'est pas malin d'avoir courtiser La Reine .
* Essaye de Comprendre Les Deux Hommes Mais ... A d'autres préoccupations en tête*
* Revient Voir Isabelle *
- On s'en va . La fête a pris une autre tournure ...
* Regarde Joseph *
- Venez tout les deux . On va chez moi .
* Rentre tout les trois chez Le Prince de Condé *
* Pensif *

* La Marquise, troublée par l'agitation montante des courtisans, qui en plus de parler maintenant à haute voix, commençaient à gesticuler d'impatience, perçut le regard du Roi à son égard. Sans rien comprendre, elle sentit son coeur faire un bond dans sa poitrine. malgré les questions que certains lui posaient pour avoir son idée sur les événements, elle se garda pour une fois de lancer une quelconque idée ou pique narquoise, après tout elle servait la Reine, et... respectait le Roi. Jamais elle n'aurait pensé que ls actions du Duc de Beaufort puissent être aussi graves, au point de se faire enfermer une nouvelle fois.
Elle perçut éalement le départ du Prince de Condé. Pourquoi prenait-il "la fuite" ? Etait-il complice de quelque chose? Chacun le savait, ils été alliés pendant la Fronde... Que se passait-il encore du coté des Condé?*

*Louis alors qu'il venait de répondre à la Reine fut coupé dans son geste pour s'en retourner par l'intervention d'une petite fille, qu'il ne reconnu pas de premier abord... mais dont les paroles l'éclairèrent. Son âge excusait une insolence dont elle n'avait conscience... Contre toute attente, alors qu'il aurait pu simplement l'ignorer et se détourner, le Roi se mit à sa hauteur -geste unique qui resterait dans les anales et toutes les mémoires puisque jamais le monarque s'attachait toujours à dominer son interlocuteur et à le faire plier de politesse...- mais présentement, au vu de la situation, Louis XIV pouvait se permettre cette entorse. D'ailleurs, finalement, cela ne ferait que renforcer son coup d'éclat et le mettrait un peu plus au centre de toutes les conversations...*

-Ton papa a trahi celui-dont-on-ne-doit- jamais desservir. Il a commis une très, très grave faute, il sera donc puni. Souviens toi qu'il ne faut jamais désobéir au Roi.

*Il la regarda un instant, certain que tout cela ne devait guère avoir de sens pour un si petit être, mais peut être qu'elle se souviendrait un jour de ses paroles, qui la sommerait alors de rester sur le droit chemin... Sa grand mère, une brave femme malgré tout, intervint rapidement, se confondant en excuses, désolée de toute sa personne. Louis mit fin à la scène d'un geste de la main*

* Esther avait suivi la scéne ni comprenant rien du tout... elle resta muette regardant son père se faire embarqué par les mousquetaires. Elle regarda le monde autour d'elle qui ne faisait rien pour l'en empéchait !! Elle fronça les sourcils, c'était son père qu'on accusait de quoi ? elle n'en savait rien, mais elle ne pouvait le laisser comme ça... elle fixa le Roi fiére de lui lui jettant un regard méprisant puis elle se dirigea vers les mousquetaires qui entourait son père voulant à tout pris l'en empéchait de l'ammener... *

- lachez le...

* Biensur elle était un moucheron à coté d'eux... ùais au moin elle aurait fait quelques choses ! *

*Les mousquetaires se mirent à rire en voyant la tentative d'Esther et ne lui répondit même pas.
François regarda sa fille. Il ne pouvait pas lui parler, il suffisait d'un regard pour qu'elle le comprenne. Il fallait qu'elle sache qu'il avait fauté, que sa punition était justifiée. Elle ne devait cependant pas se lier à lui, il fallait qu'elle se détache, qu'elle garde sa réputation.
Alors que les soldats commençaient à ôter ses armes, il osa parler sa fille.*

- Ton frère, Esther, ne laisse pas Condé l'élever !

*Puis les gardes l'emmenèrent. François pria de toutes ses forces.*

* Marie-Thérèse n'avait nullement l'intention de le laisser faire. Elle ne pouvait pas faire grand chose et se mesurer au Roi était de toute les façons peines perdues. Elle était la Reine ça oui, mais elle ne pouvait malheureusement pas donner d'ordres à Louis *

- Sire c'est une véritable injustice !!! Vous ne pouvez point faire cela. Le Duc de Beaufort est innocent !

* Athénaïs, comme les autrescourtisans, assistait à cette scène, impuissante. elle fut attendrie de voir la petite Jeanne venir demander des comptes au Roi, puis la fille de Beaufort essayer de libérer son père, tentative démesurément inutile... et enfin la Reine qui essayait de défendre le cousin du roi... mais pourquoi?? Quelle stupide chose que de tenir tête au roi devant tout le monde... La marquise mit sa main devant sa bouche, retenant une exclamation.*

*Les mousquetaires n’avaient que faire des implorations, des requêtes suppliantes : un ordre leur avait été donné, ils le menaient à bien envers et contre tout, envers et contre tous. Beaufort avait donc été emmené : ni Esther ni même la Reine n’y pourraient rien changer.*

* Louis avait décidé et il ne fléchira pas, jamais il ne reviendrait sur une de ses décisions : un roi n’a de comptes à rendre qu’à Dieu, la reine n’est que première sujette, en cette qualité et puis en celle d’épouse elle doit obéir. Certes il faut l’honorer comme il se doit, il le fait, mais il faut surtout la contraindre et c’est bien l’intention du Roi. Surtout qu’il sait, on le lui a rapporté, avec des mots simples et d’une voix qui ne ment pas. Il croit ce qu’on lui a dit puisque c’est un homme de dieu, de confiance qui a parlé… François est coupable : du plus petit geste, de la plus grande pensée, qu’importe, la passion l’a emporté et il n’a su lui résister…*

*Il sentait les yeux braqués sur lui, il était habitué, et ne tremblait point, il était sur de lui, bien que agacé par Marie Thérèse qui décidément n’en faisait toujours qu’à sa tête…Il fallait qu’elle comprenne qu’à ce moment précis vu les circonstances, elle n’était autorisée qu’à une seule et unique chose : se taire. Il garda la tête haute et le regard fier, il se plaça face à elle et déclara, très froidement*

-Madame, que viens je donc de vous dire ? Vous critiquez mes actes, vous osez ? Je sais ce que je fais Madame, et je n’ai point besoin de vous pour me montrer là où est la Justice ! Contentez vous de vous goinfrer de ce produit que vous faites venir d’Espagne, et que vous appelez chocolat…peu importe sous qu’elle forme, mais ne venez point vous mêler dune affaire qui au départ vous a concerné mais désormais ne regarde plus que moi ! Restez là où vous devez être, et je ne veux plus en entendre !

*il avait débité ce flot de paroles sur un ton plus que direct et cassant, il ne voulait pas déballer la chose aux yeux des courtisans de la sorte mais il n‘avait eu le choix… du coin de l’œil il observait les premiers spectateurs de la scène, ne cherchant ni soutien ni réconfort, juste peut être l’assurance d’une certaine personne qu’elle ne le renierait pas…*

* Comme elle tendait l'oreille, toute sa curiosité mise en avant, Athénaïs entendit les remontrances que le roi faisait à la reine. Elle écarquilla les yeux, étonnée d'entendre de la part du monarque un flot de paroles si vives à l'égard de son épouse, qui d'habitude le laissait plutot indifférent. Inconsciemment, elle se rapporcha un peu de Marie-Thérèse. Après tout, elle était l'une de ses dames, elle se devait de la soutenir un peu dans la détresse face à laquelle elle se trouvait. Elle se mordit la lèvre, n'osant plus regarder Louis.*

* La Reine n'osa plus ouvrir la bouche. Elle ne savait pas encore comment, mais elle se vengerait d'une manière ou d'une autre . Cela devenait grave, elle complotait en silence contre son mari. Lui souhaitant tout le malheur qu'elle pouvait*

HJ : oula maintenant c'est la faute du roi ?? beeeen voyons :p La reine n'avait qu'à bien se tenir na !
jeu dangereux....

HJ: c'est clair! mdrrr

[center]Hj: Honte à moi pour mon retard ! On dit merci le lycée x'D

*Tout se passa extrêmement vite. Le prêtre nous unis une fois pour toute François et moi jusqu'à ce que la mort nous sépare...Ou autre chose...Je sentais l'angoisse de François et je ne savais pas pourquoi, du coup, j'angoissais également....Nous commençâmes à marcher, suivant le Roi. François serrait ma main, je me plongeai dans mes pensées, me demandant ce qu'il pouvait lui arriver....

Pendant que nous longions l'allée, François me glissa une phrase qui me laissa perplexe :"S'il se passe quoi que ce soit, tu ignores tout de moi, Camilla, ne te mêle pas dans mes terribles affaires.", je le regardai interloquée, mais ne dis rien...

Arrivés à l'extérieur, le Roi était toujours là, que faisait-il là ? Ne devait il pas partir ? Je ne comprenais plus rien....Puis, il parla...Parla...Plus il parlait plus je souffrais. Une faille, un gouffre se créa dans mon coeur. François lâcha brusquement ma main, faisant un pas en arrière. Les gardes l'arrêtèrent et moi je restais là, impuissante. Ma mère m'amena Jeanne que je pris contre moi. Mes yeux se remplirent de larme. Je soulevais Jeanne du sol pour la porter, enfouissant mon visage dans ses cheveux, laissant les larmes couler....Malheureuse, j'étais malheureuse...*

*Le Monarque soutint bien évidemment le regard de la Reine : peut être que si, finalement il lui en voulait, peut etre n'était elle pas si innocente que cela, peut être... devrait il revoir son jugement ?! Il suffisait des hypothèses pour l'instant... Il voulu s'en retourner, mais ses yeux s'attardèrent sur toute cette assemblée, couate, sur toutes ces paires d'yeux incrédules ou larmoyants pour quelques unes de la gente féminne qui le fixaient, lui, Louis XIV, le Grand, le Roi de France... Oui il avait frappé, fort, et sans prévenir : n'était-ce pas là son habitude ? Sa cour devrait maintenant être rôdée de son imprévisibilité ! Alors il passa d'oeil en oeil, sans sourciller, sans vaciller : assumant son acte, qu'il savait juste et mesuré... Même, il pensait être dans le "trop raisonnable" pour la punition de la déraison... Alors ce n'était pas l'interrogation qui allait le faire flancher : il avait sut, il avait réfléchi, il avait ordonné...Les gardes royaux avaient eux, agi. Il n'y avait plus rien à dire, absolument rien d'autre à justifier, il avait expliqué et précisé ce qui devait l'être pourCamilla, le Duc, et les autres . Il donnerait les détails de l'affaire en "temps voulu" s'il y en avait encore à donner*

*Après un petit hochement de tête adressé à son épouse, il s'en retourna dans ses appartements, sans précipitation, d'un pas assuré, cette démarche royale qu'il s'efforçait d'avoir, qu'il forçait à avoir : la sienne... (pour laquelle il devait certainement songer à une dénomination propre...)

* Voyant le Roi s'en retourner, après avoir perçu son regard de lynx sur la foule, Athénaïs regarda autour d'elle. La pauvre Camilla était en larmes, sa petite fille Jeanne (qu'Athéaïs trouvait à croquer) dans les bras, et la Reine était restée là, probablement fort énervée d'avoir été ainsi "rembarrée" par son mari. Elle ne savait trop la conduite à avoir... Elle aurait aimé réconforter l'épouse éplorée, mais cela aurait peut-être été mal vu par Sa Majesté, alors elle préféra attendre que ce soit elle qui vint à elle. En attendant, elle se dirigea vers la Reine. Elle lui parla d'une voix calme et basse.*

-Votre Majesté? Que souhaitez-vous faire à présent?

*Puis elle lança un regard au Duc de Saint-Ange, ainsi qu'à Monsieur. Peut-être y verraient-ils plus clair dans cette affaire, peut-être que le Roi leur parlerait...*

* La Reine ne sut quoi répondre à Athénaïs sur le coup. Elle se sentait terriblement humiliée par ce qui c'était passé. Mais le sentiment qui surpassait tout était la culpabilité. Pour elle, c'était de sa faute si le Duc de Beaufort en était arrivé là. Mais que pouvait elle faire ? Elle ne pouvait pas dire à son mari qu'ils avaient fleurté, qu'ils avaient quasiement couché ensemble et que au dernier moment elle avait refusé. Elle avait refusé car justement, elle craignait que son mari ne fasse ce geste. Mais là, elle n'était pas vraiment coupable. Elle aurait bien voulu le dire à Louis mais vu la manière qu'il l'avait rembarée, elle préféra en rester là pour aujourd'hui. *

* Elle ne savait pas comment elle pourrait aider François, mais elle allait essayer de tout faire pour raisonner Louis. Autant parler avec u^n mûr, lui au moins ne vous rembarerait pas. Elle ne savait pas du tout comment elle devait réagir face à cette situation et surtout fasse à la famille de celui-ci. La seul personne en qui elle avait confiance, était Athénaïs, elle se dit qu'il valait mieux quitter les lieux dans un premier temps. Elle auraient tout le loisir de parler dans ses appartements.*

- Retirons nous dans mes appartements. J'ai à vous parler.

* Elle ignorait si c'était une bonne idée de se confier à quelqu un sur ce sujet. Sachant que pratiquement tout revenait aux oreilles du Roi. Mais il fallait qu'elle retire ce grand poids qu'elle avait sur le coeur. Elle passa devant la femme et la fille du Duc sans leur jeter le moindre regard. Oh ce n'était èas de la méchanceté, mais surtout de la culpabilité.*

* La marquise sentait que la Reine allait lui faire des révélations, et quelque part, cela excitait sa curiosité. elle hocha donc la tête sans rien ajouter quand la reine lui intima le souhait de la retrouver dans ses appartements, et la suivit sagement. Passant devant Camilla, Athénaïs lui fit un petit signe de tête, lui faisant comprendre que si elle désirait parler, elle pourrait la retrouver un peu plus tard.*

*Bien sûr, la marquise ne se doutait pas un instant de ce qui se tramait... Jamais elle n'aurait imaginé que la reine ait pu avoir un faible pour le Duc de Beaufort, et qu'ils auraient pu passer à l'acte.
Elle suivit donc la reine, traversant le flot de courtisans, pour retourner vers l'intérieur du château, laissant son esprit vagabonder, essayant d'imaginer ce que la Marie-Thérèse lui avouerait.*

*Louis retrouva finalement son bureau, il avait renvoyé tout le monde et avait donné l'ordre de n'être dérangé sous AUCUN prétexte ! Cette pièce était chargée de souvenirs, en avait vu défiler des personalités, en avait entendu des requêtes, avait été le témoin de secrètes affaires, eu l'honneur d'être le lieu de la prise de grande décision... Le Roi s'y sentait bien... Il se laissa tomber sur son fauteuil, tomba le masque du monarque, et repensa à tout ce qui venait de se passer : les deux dernières journées défilèrent sous ses yeux mi-clos, il les revoyait à chaque seconde, dans chaque détail. Cette vision le réconforta et le conforta : si cela était à refaire, il n'y changerait absolument rien !*

*Il ne savait pas ce qui se passait du côté de la Chapelle, le grand banquet du soir n'avait pas été annulé, il ne doutait pas que certains courtisans s'y rendraient, rien que pour la soirée en elle même, peu important la raison pour laquelle elle avait été donnée, maintenue.. Versailles regorgeait de ces personnes qui ne demandaient qu'à paraitre... Sa curiosité était soudainement attisée, les courtisans s'étaient ils dispersés? Ou était Marie Thérèse ? Camilla ? Madame de Montespan ? Monsieur ? Les ducs de Vivonne et de Saint Ange ? Et tous les autres ?? Où étaient ils ? Que faisaient ils ? Que pensaient ils ???*

*Louis se posait toutes ces questions, sans être pourtant dévoré par les réponses : il savait bien qu'il ne devait compter que sur lui même, il était investigateur mais mais restait le Roi, le décideur, il avait le dernier mot, le dernier avis, il était le Roi*

* Esther lacha les mousquetaire lorsqu'elle écouta son père lui dit de rester avec son frère, Elle Jetta un coup d'oeil sur Joseph puis regarda à nouveau son père se faire embarquer, c'était fini, ils étaient en trin de partir et elle, restait là à les regardaient partir. Elle se précipita vers Joseph et lui prit là main afin de l'ammener loin de la chapelle, qu'importe s'il le voulait où non, il fallait l'éloigner de Condé et c'est se qu'elle comptait bien faire. Elle ne savait vraiment pas se qui se tramé contre son père mais cela avait l'air d'être important en tout cas suffisement pour que le Roi soit aussi ignoble à se point, surtout le jour de son mariage... Elle pensa alors à Camilla, la pauvre femme, qu'allait elle faire à présent ?... Elles étaient toutes les deux dans le même calvaire, seule... *