*Soirée d'appartement* PV: famille royale,Vivonne, proches.

Hj: Non c'est bon la prochaine fois avec vic

HJ: mdr Phiphi, la reine elle veut une enveloppe pour s'entailler les veines ptdrrr, nan mais sans dec "son Altesse" ca peut aussi être le Roi... comment elle va faire pour savoir? XD

*Athénaïs savait pertinament que le Roi plaisantait, et ne se démonta donc pas.*

-oh mais Sire, jamais je n'oserais vous proposer mon aide, vous faisant passer pour un joueur inexpérimenté alors que vous venez de gagner haut la main... Ce serait mal me connaitre, et vous apprendrez que je péfère aier les plus faibles.

*elle lui adressa un petit sourire en coin tout mignon et angélique. Elle remarqua également le valet et se demanda ce qu'avait encore la reine... lle réalisa alors qu'elle avait été dans la pièce et qu'elle ne l'avait pas remarquée... voyant le roi se lever, elle fit une révérence.*

* Marie- Thérèse regarda le serviteur. Elle devina qu'il s'agissait de son beau frère. le Roi était bien trop occupé à jouer et à regarder les autres courtisanes.*

- Eh bien répondez lui que je préfère resté seul plutôt que mal accompagnée . Je ne le vise pas du tout bien sur.

HJ! mdrrr chou

DJ :

-Madame de Montespan, votre bonté vous perdra un jour ... J'essairai de vous épargner tout le mal que je pourrai ...

*il la regarda sans autre expression, mais ce sourire angélique, celui qu'il aimait tant et qui contrastaitde la plus jolie des manières avec la femme de caractère qu'elle était, lui réchauffa le coeur en silence. Mais il s'évertua encore à ne rien montrer : sa phrase pleine de sens était pourtant vie d'émotion...*

*lorsqu'il eu joué son tour, il se leva donc et d'un pas décidé se dirigea vers Marie Thérèse ; il n'avait qu'une idée : la réconcilier avec la bonne humeur de la soirée afin d'éviter tout sujet de causerie qui ne demandaient qu'à nâitre*

-et bien ma chère qu'en est il ? Joignez vous à nous ...

*Athénaïs sourit au Roi en inclinant légèrement la tête à sa phrase.*

-Votre Majesté est trop bonne...

*puis quand il se leva, elle exécuta une petite révérence respectueuse.*

Mon Dieu il court après on irraisonnée d'épouse... A quoi bon, elle ne s'intéresse à rien...

*Philippe avait reçu la réponse de la Reine par l'intermédiaire du valet, cela confirmait ses craintes. La pauvre Marie-Thérèse, il la plaignait de tout son coeur. Lorsqu'il vit son frère se lever et aller voir l'Infante, il ne put s'empêcher de trouver cela assez comique, en effet, si il n'avait rien fait, si il n'avait pas vu la tristesse de Marie-Thérèse, si il n'avait pas provoqué la curiosité de son royal aîné, Louis aurait continué à jouer sans se préoccuper de sa femme, alors qu'il était un des rare à savoir qu'elle était là. Il se leva de table puisque son frère l'avait fait, tout le monde pouvait à présent vaquer à ses occupations. Il alla voir Athénais.*

- Je vais profiter de cette belle soirée et prendre un peu l'air sur la terrasse. Désirez-vous vous joindre à moi mon amie ?

*Souriant de voir Philippe s'approcher d'elle, elle ne put u'approuver sa proposition.*

-ce serait avec joie mon ami.

*Elle regarda autour d'elle. Son frère semblait absorbé part ses pensées... Qu'avait-il ces temps-ci? Vincent quant à lui observait les dames... Quel coureur ! cela la fit sourire.*

*Louis était à la limite de l'impatience en voyant son épouse ainsi murée dans le silence ... s'il avait fait l'effort de venir vers elle, alors que l'envie ne lui avait nullement commandé, il aurait bien aimé qu'elle fasse en fasse de même. D'habitude, il n'aurait fait de vagues, mais là, ce soir, et en public, il avait voulu se montrer conciliant... qu'à cela ne tienne, il s'en rappelerait !*

*il se donnait encore quelques secondes avant de s'en retourner...*

* Marie-Thérèse lui fit le plus joli des sourires. Elle ne voulait pas que Louis prenne mal ce qu'elle allait lui dire *

- Je vous remercie de votre proposition Sire mais je vais me permetre de la décliner.

*Elle regarda en direction de Madame de Montespan qui était plus éblouissante que jamais *

- Vous êtes en très bonne compagnie et je ne voit pas en quoi ma présence est elle si indispensable.

*Louis s'attendait à cette réponse*

*Elle ne voulait donc point se montrer ne serait ce qu’un minimum conciliante ? Soit, Louis n’irait pas plus loin dans ses efforts, qui étaient déjà plus que conséquents ! … il suivit son regard lorsque celui ci s’attarda sur Athénaïs ; puis sur un ton doucereux :*

-Fort bien, Madame vous êtes libre de vous murer dans votre mauvaise humeur, je ne vais point me gâcher une soirée qui s’annonce fort belle et pour laquelle vous le faites si bien remarquer, je ne manque pas de bonne compagnie…

*il fit un pas pour s’éloigner, puis ajouta*

-mais n’oubliez pas que, c’est vous même qui venez de décliner l’invitation de vous joindre à l’agréable, ne venez point m’accuser ensuite de vous avoir malmenée, j’en serais fortement contrarié ! Je ne puis rien contre votre mauvaise volonté … soit !

*il avait dit ses mots comme s’il saluait un marquis quelconque.. il tourna les talons, le menton haut et rejoignit la table qu’il avait quitté il y a quelques instants de cela*

Hj : chou jtd heeeinnnn ! lol….

HJ: ouuuh la Rweine elle va venir me faire chier le lendemain ptdrrr

* Voyant le Roi revenir... et saqns la Reine (!), Athénaïs compris que quelque chose ne tournait pas rond... La Reine était-elle de mauvaise humeur? LE Roi t elle s'étaient-ils disputés?
S'inclinant en le voyant revenir, puisque Philippe et elle n'étaient pas enocre sortis, elle lui adressa un sourire, attendant qu'il rompe le silence.*

* Et oui la Reine n'avait pas suivi le Roi qui était venu la chercher par pur pitier ou peut etre et tres certainement par obligation. Elle en avait assez que tout le monde fasse semblant. Semblant de s'interesser à elle, semblant de l'écouter et la liste serait encore longue pour le reste.

Elle s'appuia sur le rebord de la fenetre car oui avec sa robe elle ne pouvait pas faire autrement. Cette époque était tres mal faites. On portait des robes qui vous serrez tellement qu'il fallait en effet apprendre à ne plus respirer et essayer de se concentrer en même temps sur les conversations des autres personnes. Mais le pire c'était d'être Reine. Anne d'Atutriche la ReineMere avait fait un parcourt sans faute. Mère et épouse exemplaire elle avait reussi a plus ou moins s adapter au traditions francaises à quelques excetptions pret bien sur.

Ce qui n'avait pas ete le cas de Marie Thérèse omme beaucoup le savent*

*Quelques pas et l’altercation en bonne et dûe forme faisait déjà partie d’un passé oublié ! Louis répondit au sourire de la Montespan de la plus séduisante des manières : ce sourire qu’il venait de lui adresser, beaucoup de courtisanes s’en seraient damées pour s’en voir adresser un pareil ! Cette pensée lui effleura l’esprit et ne fit qu’accentuer encore un peu la craquante mimique qui redessinait ses traits de manière irrésistible ! Le Roi savait qu’il plaisait, il aimait cela et en jouait, en usait, quitta à en abuser…*

*Bien que s’adressant à son frère, c’est Athénaïs qui retenait son regard*

-Mais je vous en prie mon frère, je ne voudrais point venir contrecarrer les plans que vous projetiez de réaliser dans l’instant…Faites donc comme si je n’étais pas revenu, d’ailleurs je ne suis que de passage…

*il se releva et passa à quelques centimètres de la marquise, cet effleurement réveilla en lui quelques frissons : les sentiments prenaient souvent le corps en otage et l’on y pouvait rien…*

* En effet, Athénaïs remarqua le charmant sourire que lui adressa le souverain. Elle fut flattée de cette petite attention aprticulière, mais n'était pas de ces jeunes et stupides petites courtisanes presqu'hystériques rien qu'à l'idée de croiser le regard du Roi. Non, elle nétait pas blasée, seulement elle savait garder son sang froid et son calme, même dans éles situations excitantes.
Elle se contenta, d'un air amusé, d'immiter l'attitude du Roi, accentuant un peu plus son sourire de même... car elle aussi savait user de ses charmes. Chaque jour, les courtisans le lui prouvaient, la suivant et se disputant ses regards et ses sourires.

Elle avait posé son regard sur Philippe, attendant sa réponse à ce qu'avait dit son frère, quand elle sentit Louis passer à coté d'elle et la frôler. Elle ressentit aussi le frisson du Roi, qui la parcourut de la même manière. Là, leurs yeux se croisèrent, se regardèrent, s'interrogèrent. Ces quelques secondes lui parurent durer comme si le temps s'était arrêter... Quelle étrange sensation! *

HJ: désolée pour mon absence, j'ai eu des petits problèmes!

*Vincent s'ennuyait ferme, le Roi était revenu mais reparti aussitôt, la marquise était incourtisable, pfff! Il eu un sourire amusé aux regards qu'échangeaient le Roi et Athénaïs. Comme il n'y avait presque plus personne à la table, il se leva prestement et se rendit auprès de la Reine, non par pitié, mais parce qu'il la trouvait très belle, et qu'elle avait une charmante conversation et beaucoup d'esprit, ainsi qu'un magnifique sourire adressé à qui savait la faire rire. Avec tact, il ne fit pas allusion à sa brouille avec le roi, et ne le mentionnât même pas. Il espérait la dérider un peu, usant surtout de son charme naturel et des anecdotes sur la cour qu'il savait si bien tourner, n'oubliant pas sa mère qui alimentait la moitié des potins , l'autre moitié étant réservée au roi et à sa famille.*

HJ: loool ton post... le duduc il a craqué sur la Rweiiineeee lol. oh j'espère que ca va toi...

* La Reine trouva le Duc absolument adorable envers elle. Il y avait bien longtemps qu'un homme ne lui avait pas prêter autant d'attention. Ca lui faisait du bien elle se sentait écoutée contrairement aux autres personnes qui au contraire du Duc fausait semblant*

- Et bien Mon Bon Monsieur, la Compagnie du Roi ne vous interesse plus ?

*Vincent, heureux de la faire sourire,prit un air faussement vexé.*

-Quoi? Mais madame, seule la perspective d'une conversation en votre compagnie m'a décidé à quitter l'exquise compagnie de votre époux! Non que la votre ne soit pas meilleure bien entendu!

*Il éclata de rire et adressa un clin d'œil à la Reine. Il la regarda en biais, car bien que le roi n'aima pas son épouse, Vincent se doutait qu'il apprécierait peu qu'on fasse la cour à sa femme, aussi, il retint ses œillades et orienta la conversation sur les travaux, se demandant quand ils seraient terminé. Il en avait marre du bruit, et savait que cela dérangeaient la plupart des courtisans, bien qu'aucun d'eux n'osa se plaindre, de peur de tomber en disgrâce.*

*Philippe allait parler avec Athénais, mais son frère choisit ce moment pour revenir vers eux. Le prince prit la phrase de son royal aîné comme une pique du genre "si je dérange je peux partir." Louis avait, en quelques mots, l'art et la manière de faire aux gens se sentir mal à l'aise. Même si Monsieur y était habitué, cela lui faisait toujours un peu mal lorsque son propre frère "jouait" à cela avec lui, car maintenant il était coincé, impossible pour lui de prendre l'air avec pour unique compagnie son amie Athénais. Philippe s'inclina devant son frère.*

- Je pensais que vous étiez occupé ailleurs mon Roi, mais maintenant que vous êtes là, peut-être voudriez-vous prendre un peu l'air, voyez comme la nuit est belle, pourquoi ne pas organiser un jeu en plein air à la lueur des torches ?

*Avec l'obscurité, son frère pourrait tenter de séduire Athénais, il fallait être aveugle pour nier que la Marquise plaisait au Roi. Philippe avait peu de chance que son idée soit accepté, il allait certainement encore être rabaissé, mais au point où il en était.*

* La Reine le trouvait beau et charmant mais elle ne savait pas pourquoi il lui portait un interet soudain. Ou parce qu'il avait envie d'obtenir quelque chose de son mari et du coup il lui faisait du charme. Ou il la trouvait réellement à son gout. *

*Elle lui dnna son avis sur les travaux, étant se son avis sur le fait que ses travaux durait un peu trop longtemp à son gout. Elle le regardait tout en souriant *

*En détaillant la Reine, ce qu'il n'aurait jamais oser faire en présence du roi, il en vint à se demander pourquoi le souverain n'aimait pas sa femme. Elle était pourtant charmante, très jolie, avait beaucoup d'esprit et un raffinement exquis. Heureux de son sourire, il sourit également. Même si il savait ce sujet douloureux, il lui demanda ce qui lui manquait en Espagne, il voulait connaître mieux cette Reine dont tout le monde parlait mais que si peu connaissait. Quand il entendit sa mère arriver derrière lui, il eu un soupir coquasse et leva les yeux u ciel. Il se retourna pour lui faire un baise-main et la présenta à la Reine. Elle commença un bavardage incessant pour que Marie-Thérèse convainque son époux de trouver une jeune fille à son fils. Lorsqu'il l'interrompit brutalement pour lui expliquer qu'il s'apprêtait à en parler mais qu'il aimerait faire ce choix seul, sa mère le regarda, suspicieuse, avant de s'éloigner embêter quelqu'un d'autres. Il y eu des rires étouffés dans l'assistance, les courtisans n'ayant pu résister à écouter Solène de Saint-Ange. Vincent s'excusa avec ferveur auprès de la Reine, craignat que cet incident ne l'ai fachée.*

-Veuillez excuser ma mère, Votre Majesté. Pardonnez ma question, mais... votre famille vous manque?

* La Reine fut plus que charmée que quelqu'in s'interesse enfin à elle à sa juste valeur. Elle se retint de rire lorsque la mère du Duc intervint. Elle était contente de répndre à toutes les questions qu 'il lui posait *

- Eh bien pour vous dire la vérité , oui ils me manquent beaucoup

*Le retour du prince*

*Voila deux ans passés, que François n'était pas revenu à Versailles. La guerre des Flandres l'ayant profondément affaibli, il était allé se reposer à Vendôme, auprès de sa famille. Puis, après avoir retrouvé des forces, il avait suivi les ordres du Roi pour partir faire la guerre en Espagne. Que de combats et de batailles gagnées et perdues !
Il était ensuite retourné chez lui, à Beaufort, où il avait passé beaucoup de temps à réfléchir. Il avait bien conscience que depuis la Fronde, Louis le Grand l'avait écarté de la Cour pour éviter d'autres révoltes. Il avait donc rédigé soigneusement (ce qui était donc un énorme effort pour lui) une lettre adressé à sa Majesté où il présentait sincèrement ses excuses. Sa Majesté avait donc accepté de le revoir à la Cour.
François s'était donc pressé de venir et de rejoindre le Roi.
Il était arrivé dans la journée, qu'il avait passé dans les rues de Paris. Puis, apprenant l'existence du bal, il s'était préparé pour cette soirée.*

*François arriva dans les appartements du Roi avec fierté. Il revenait la tête haute, pas question de baisser les bras devant ses ennemis, comme Colbert par exemple. Il avanca dans les pièces, saluant de part et d'autres de vieilles connaissances.*

HJ 1 : Marie Thé joue avec le feu ..mmmhh :p
HJ2 : Duduc, le bal ce n'est pas ce sujet là mais ché pô grave rebienvenue !!!!!

DJ

*Le Roi, ayant le dos tourné, n'avait aucune idée (pour l'instant en tous cas!) de ce qui se "tramait" dans son dos et donc était à mille lieues d'imaginer quel discours était en train de lier son épouse à l'impétueux Duc de Saint Ange... Et d'ailleurs cela était sûrement bien mieux ainsi! En évoquant des "lieues", il y en avait un qui revenait de loin, et cet "un", n'était pas n'importe qui ! S'apprêtant à changer de pièce, quelle ne fut pas sa surprise en se retrouvant nez à nez avec le ...Duc de Beaufort ! Etait il déjà ici ? Oui de chair et d'os ! Il méritaitdonc bien son adjectif de "véloce", Louis fint donc à merveille l'étonnement*

-Monsieur le Duc de Beaufort, vous ici ?

*Athénaïs entendit le nom du Duc de Beaufort et releva la tête. En effet, elle put constater la présence de celui-ci, qu'on n'avait guère vu depuis fort longtemps. D'aucun disait quîl avait péri en son domaine, d'autres qu'il était devenu fou...
Elle fut donc très étonnée et attendit la suite des événements, sagement à coté de Monsieur.*