*salon de la musique la nuit*

*arrive avec Louis*

*le regarde*

*sourit*

-j'aime beaucoup cet endroit.

- Moi aussi surtout à cette heure.

*s assied fait signe a Athénais d en faire autant*

*lui sourit*

*vient s'asseoir à coté de lui*

-Je n'étais encore jamais venue aussi tard...

*regarde la pendule qui indique 2h du matin*

-Je veux dire, aussi tôt!

*petit rire*

- J aime beaucoup votre sourire.

*la regarde"

- Je le fait souvent avant d aller me coucher.

*sourit*

-C'est gentil...

*le regarde dans les yeux*

j'adore vos yeux.

*sourit*

-eh bien je trouve que cette idée est plaisante.

*Est sur son petit nuage *

*plonge son regard dans le sien*

*est troublée par son regard*

*ne sait pas quoi faire*

*rougit légèrement*

*Louis lui tendit la main*

- Et si vous m'accordiez une danse ?

*sourit*

-Oh, avec joie Sire...

HJ: "s'il plait à votre Majesté"... ça maaaarche!

hj: ptdr !!!

* il pritlamain de athe et ils danserent*

-vous etes une magnifique cavaliere ma chere

*danse avec lui*

*tout heureuse*

*fait du mieux qu'elle peut* lol

-Je vous remercie... mais c'est parce que j'ai le meilleur cavalier qui soit...

*s'approche de son oreille et murmure*

-Nul ne saurait égaler le soleil!

*sourit*

*la fait tourner, encore et encore*

*trouve qu'elle ne se débrouille pas si mal que cela et qu'elle s'était sous estimée jusque là : pour l'instant elle ne lui avait encore écrasé les pieds !*

-un cavalier tout seul n'est que peu de chose sans une cavalière digne de ce nom...

*sourire flatteur, surtout après un tel compliment*

-oh mais personne ne vous demande de l'égaler !Vous avez déjà eu le courage de l'approcher, sans redouter les coups de chaud... alors que d'autres s'en serait déjà détourné !

*plus le temps passait et plus Louis appréciait la compagnie de cette Mme de Montespan !*

*tourne donc, encore et encore*

HJ: a la tête qui tourne, ptdr!

-Vous me flattez, Sire.

*touchée, ses compliments lui vont droit au coeur*

*se sent toute légère* lol

*découvre le Roi sous un autre visage, celui de l'homme*

*le trouve fort sympathique*

HJ : tu me fais tourner la têteuuu, mon manèèège à moiiii c'est toiiiiiiiii ...

DJ :

-toute flatterie vous concernant, est méritée ma chère... sachez que je ne dis jamais rien pour le simple fait de le dire !

*se laisse porter par leur danse, est complétement dans son élement, et qui plus est, en charmante compagnie : il ne fallait rien de plus pour plaire à sa Majesté*

*profte, savoure l'instant, ne la quitte pas des yeux*

*au bout d'un long moment, ralentit ses pas*

-Madame, vous plairait il que nous prenions quelque repos ?

*rougit légèrement à sa première phrase*

-Je vous remercie...

*petit sourire*

*continue de suivre avec application ses pas*

*ne veut surtout pas décevoir le roi*

*est également dans son élément, adore la danse et la musique*

*ralentit également au bout d'un moment*

*lui sourit*

-Pourquoi pas, Sire.

*le regarde*

-Je remercie votre Majesté pour l'immense honneur qu'elle m'a fait.

hj : grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr et grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

HJ : ouiiiiii ? ^^


*ils avaient cessé de danser, mais il ne s'était pas écarté d'elle pour autant, il la guida vers deux fauteuils de salon ornés dans les mêmes tons que l'endroit où ils se tenaient*

*lui fit signe de s'assoir et en fît de même*

-Vous me parlez d'un honneur, or je crois ici que vous m'ôtez les mots de la bouche : c'est bien vous qui m'honorez de votre charmante présence...

*avait dit ses mots sur un ton très calme, mais qu'il lui était difficile de cacher le petit plaisir -peut etre défendu, mais qu'est ce qui est finalement défendu au Roi ?!- qu'il goutaît à ce moment là, si plaisamment accompagné...*

-Madame, vos pas de danse étaient divins, m'auriez vous encore longtemps caché votre passion pour cet art ainsi que celui de la musique ?

*ne la quittait pas des yeux*

-Je sais en tous cas maintenant vers quelle cavalière me tourner pour les bals à venir ....

*voit que le Roi lui désine un fauteuil, alors s'y asseoit aussitot, toujours dans un mouvement de grâce qui lui est propre*

*le regarde dans les yeux en y plongeant sonr egard saphir*

*sourit à ses compliments*

-Allons Sire, cessez donc de flatter mon éo!

*petit rire*

*se cache derrière son éventail*

-Oh, je ne vous en aurais rien caché si vous m'aviez posé la question... L'occasion ne s'était encore jamais présentée d'en parler...

*rougit légèrement quand il parle de danser avec elle lors d eprochains bals*

Mon dieu, quelle joie ce serait!

*ne peut réprimer un petit rire à la mimique de l'éventail*

*se cale bien droit dans le fauteuil, un bras appuyé sur l'accoudoir, joue avec ses doigts, tout en ne lâchant pas le regard perçant d'Athénaïs...il ne pouvait s'en détacher, comme captivé, hypnotisé par deux petites prunelles si expressives*

-ce ne sont là que des compliments fort mérités Madame, faites en ce que bon vous semble, mais acceptez les... Je ne saurais à qui d'autre les adresser de manière aussi sincère !

*il savait qu'il s'engageait là sur un terrain dangereux, celui de l'action de courtiser tout en sous entendus, mais ce n' était pas pour lui déplaire, bien au contraire...*

-Voyez moi rassuré, mais peiné du même temps de n'avoir été présentés que trop tardivement ! Nous avons donc là de quoi nous rattraper... Parlez moi donc de cette passion qui vous ravit...

*sourit en voyant son petit rire*

*se dit qu'en plus de divertir la Reine, amuser le Roi ne peut être que positif*

-Eh bien, Sire, c'est avec beaucoup de fierté et d'honneur que j'accepte vos compliments, qui me touchent au plus haut point.

*le regarde avec une pointe de lueur dans les yeux quand il lui demande de parler de la danse et la musique*

-Oh... je me souviens encore du premier bal auquel j'ai assisté... je devais avoir 13 ans. Mon père était venu me chercher au couvent pour je ne sais quelle raison, et n'avait eu d'autre choix que de m'emmener, ce qui était loin de l'enchanter... Il me semble d'ailleurs que ce bal faisait suite à une démonstration de danse de Votre Majesté, au cours de laquelle je fus très impressionnée de voir vos prouesses malgré votre jeune âge.

*Louis hocha la tête, satisfait de la réaction d' Athénaïs et enjoué par la conversation qui se liait entre eux... La beauté et l'élégance naturelle de la jeune femme ne le laissaient aucunement indifférent, de surcroit, son élocution toute en finesse finissait l'éclatant tableau qui s'offrait à ses yeux... Néanmoins, il ne voulait rien brusquer et s'amusait de la tournure que les choses prenaient...*

-Voilà qui est bien ! Mais ne rougissez point Mme, je ne veux vous causer aucune gêne...

*il avait bien sûr aperçu la petite lueur qui était passée dans ses yeux, et su tout de suite qu'ils partageait de nombreux points communs...*

*prêta une oreille attentive à son récit, et fût plus que très flatté par ses propos*

-Madame auriez vous décidé de vous venger de mes compliments en me faisant rougir à mon tour ?

*l'évocation de son enfance le plongea subitement dans une rêverie aussi vite interrompue qu'elle n'était venue*

-il est fort vrai que la danse et la musique m'accompagnent depuis mon enfance, et c'est à se demander si elles n'ont pas toujours fait partie de moi... J'aime à me perfectionner dans cet art si immense que cette perfection en reste inaccessible... Mais.. revenons donc à vous, serait ce votre père qui vous a initiée à la danse ?

*lui sourit un peu timidement à sa première phrase*

*prend un air un peu mutin et coquin à son terme de "vengeance"*

-Oh, mais jamais je n'oserais tenter ne serait-ce qu'en pensée, me venger de Sa Majesté!

*petit rire*

*hoche la tête*

-Je dois dire que je ressens tout à fait la même chose... en effet, ce jour-là, bien que n'ayant jamais dansé, le simple fait d'entendre les douces notes faisait bouger mes petits pieds qui ne voulaient rester en place. C'est alors qu'un marquis dont j'ai oublié le nom m'invita à danser. Mon père n'y était pour rien et a d'ailleurs vu d'un très mauvais oeil cela... il m'a renvoyée le lendemain-même à Saintes, prétextant que le monde de la Cour m'avait attirée bien trop tot et qu'il n'était pas l'heure pour moi de danser dans des bals...

*les expressions que s'amusait à prendre Athénaïs le charmait plus que tout, il voulait même s'amuser à les provoquer*

*prend un air faussement accusateur *

-Madame, vous ne seriez pas la première à avoir quelque mauvaise pensée, que pour une fois, au vu de la charmante personne à qui elles appartiendraient, j'aurais eu grand plaisir de pardonner au plus vite! Et puis, qui sait, le rouge n'est certes pas ma couleur de prédilection mais peut etre met il mon teint également en valeur ?!

*reprend son sérieux et l'écoute parler d'elle, ravi d'en apprendre autant*

-Vous avez été appelée par la musique et puisque vous faîtes partie de ces rares personnes qui savent être sensible à un si joli appel, vous vous êtes laissée porter, guidée par les notes ... C'est là une grande qualité de pouvoir agir de la sorte... Voyez moi heureux d'agrandir avec vous le cercle des passionnés...

*se rembrunit à entendre la réaction de son père*

-oh j'entrevois bien ici la peur d'un père de voir ainsi sa fille happée par le beau monde, mais si vous me le permettez, cette punition, car je ne vois pas d'autre mot pour parler de votre retour si rapide au couvent, me semble bien disproportionnée ! j'espère ne point vous offusquer en abordant par là la sévérité de votre père...

*plonge intensément ses yeux dans les siens*

-Votre première approche de la cour ne vous a donc pas réussi et nous pourrions la ranger dans les mauvaises expériences si j'ose résumer tout cela...

*voit que son air est faussement assusateur, donc s'amuse à prendre une expression appeurée*

-Mais Sire, je vous conjure de me croire... Vous n'aurez rien à pardonner puisque je ne me reproche rien, sauf peut-être le fait de vous dire la vérité.

*lui sourit avec un air légèrement enfantin*

-Vous m'en voyez ravie également. Depuis ce jour-là, je n'ai jamais oublié mes premiers pas de danse.

*le regarde se rafermir*

-Oh, mais vous savez, je comprends assez sa réaction. Je ne serai pas rassurée de savoir ma fille si jeune livrée à elle-même dans des soirées où n'importe quel malautru pourrait abuser de sa crédulité. Je ne prends donc plus cela comme une punition, bien que, je vous l'avoue, à l'époque je fus fort piquée de cette réaction. D'autant que je ne lui avais guère demandé de m'emmener.

*lui sourit pour rapporter un peu de gaieté à la conversation*

-Mais comme vous le dites fort justement, tout ceci appartient au passé.

* voit qu’elle entre dans son « jeu », continue donc de jouer le « méchant »* :

-alors dans ce cas, toute la vérité est elle toujours bonne à dire ? N’en serait ce pas un peu trop pour de sensibles oreilles telles que les miennes ?

*cette évocation de l’enfance l’entraîne lui aussi à se remémorer quelques souvenirs : plus qu’une passion, c’était aussi pour lui une manière de gouverner, de rayonner, il vivait la danse*

-la première fois en toute chose est celle qui marque, les la seule ineffaçable. Le reste n'est qu'une répétition, un effet de l'habitude qui nous pousse à le faire sans plus s’en rendre compte..

*essaye de comprendre la réaction du père, mais se trouve quelque peu offusqué d’entendre que l’on peut penser les soirées de sa Majesté mal famées : certes Versailles est un petit monde bien particulier où le meilleur côtoie le moins bon mais les gens de la cours sont respectables, le Roi ne s’entoure pas de mufles et ne les fait pas danser !*

*fronce le regard, ne pouvant cacher que cette anecdote le touche*

-certes, je veux bien voir en votre père l’homme protecteur de sa fille, mais vous ne m’enlèverez point de l’idée que ce geste est bien disproportionné par rapport à l’acte… Par ailleurs mes bals sont des moments de détente et de plaisirs, rien de plus, aucunement des guets-apens à enfants !

*sa dernière phrase avait claqué lapidairement, s’était faite un beaucoup plus sèche que les autres, trahissant une pointe d'agacement*