*salon de la musique la nuit*

HJ : nan mais bien sur, on entre là comme ds un moulin ?? lol !


*allait ajouter quelque chose quand la bonne arriva*

*fit un pas en arrière pour être hors de portée de toute bougie*

*retient son souffle : si on le trouve ici en cette heure, il était bon pour d'autres ragots encore ! *

HJ: ben la bonne elle glande dans l'appartement, normal mdr

*sursaute en entendant la bonne*

-Oh, Mme... vous m'avez fait peur...

*essaie de prendre un ton ferme pour pas qu'elle ait le temps de reconnaitre le roi*

-Eh bien, vous êtes rassurée, ce n'est que moi... Retournez donc vous coucher, il est bien tard et vous devez être épuisée.

HJ: tu veux mettre du piquant?

HJ : ouééééééééééééééééééééé du piquant !!!!!!! niarkniark !
(toi tu as une idée derrière la tête !! ) je veux saaaavoiiiiirrrrr !!!!

HJ: beh pour ça faudrait que tu répondes mdrrr fais le roi et la bonne et je reprends le relais après lol on fait un coup chacune ok?

HJ : ouki mais j'ai pas rep au cas ou tu voulais édité... enfin bref !

DJ :

*Louis avait tenté de rester immobile, respirant le plus doucement possible, mais une crampe à la douleur aussi lancinante qu'imprévue le fit reculer d'un pas....il espéra que le bruit de son mouvement fût couvert par les paroles d'Athénaïs, mais il se trompa*

*la bonne aux aguets, se retourna aussitôt, oubliant de répondre à sa maîtresse et par là même occasion baffouant l'étiquette, et croyant bien faire pour défendre Athénaïs puisque la pensant seule, prend un ton assuré et crie dans le vide*

-Qui est là ??

*Louis grimaça et tapa rageusement du poing en l'air, il ne fallait pas qu'il soit découvert, il ne fallait pas !! Il ne répondit pas, se tapissant encore plus dans l'ombre, et pensait que le silence aurait raison de la question posée, mais une fois de plus, il voyait faux et la bonne réitéra son appel avec plus de conviction encore*

- Q-U-I est L-A ??????????????????? !!!

*voyant que la bonne avait remarqué la présence de Louis, mais fort heureusement pas encore découvert son identité, elle s'empressa de se mettre entre eux afin qu'elle ne puisse pas avancer et reconnaitre le roi*

-C'est...

*se dépêche de sortir une réponse bidon*

-Mon mari! Enfin Madame, sont-ce là des façon de recevoir Mr le Marquis?

*rougit en disant ces mots, mais heureusement cela ne se voit pas dans la nuit ^^*

*Louis retint un gloussement d'étonnement, c'était bien la première fois qu'il était appelé marquis sans qu'il n'en soit fâché ni même offensé, bien au contraire*

*Il était admiratif devant l'attitude qu'affichait Athénaïs pour sauver la situation : si cela fonctionnait, il se montrerait très reconnaissant, et... de même si cela échouait : il devait saluer les efforts qu'elle accomplissait avec un grand sang froid... *

*il resta donc prostré dans un silence de plomb, guettant le moindre échappatoire*

*La bonne ne démordait pas, mais se montrait polie*

-Je ne voulais offenser personne Madame, mais... Monsieur le marquis observe ici un comportement qui ne lui est guère familier...

*elle s'avançait doucement en prononçant ses mots, et ce afin de vérifier que l'homme derrière Athénaïs était bien celui qu'elle prétendait : elle devinait que quelque chose clochait et voulait en avoir le coeur net : le service à Versailles avait forgé ce caractère de plomb, qu'il était bien difficile de changer à présent...*

*étant dos à Louis, elle ne voyait pas ses mimiques ni ne savait comment il avait pris l'initiative dont elle avait fait preuve*

*voyant la bonne s'avancer vers elle (puisqu'elle se trouvait entre les deux), elle bomba le torse et mit les mains sur les hanches*

-Nous aimerions rester trnaquilles et nous reposer, je vous prie donc de disposer dans vos quartiers, Mme! Mr le marquis et moi sommes fatigués, nous rentrons tout juste de Paris. Nous venons d'apprendre une mauvaise nouvelle, aussi nous aimerions ne plus être dérangés.

*espère que cela suffira à dissuader la bonne à fourrer son nez partout*

Mon dieu pourvu qu'elle ne remarque pas que le Roi est plus petit que Louis-Henry...

HJ : bon ben puisque Loulou se tait, je continue avec la bonne ^^

DJ :

*Le Roi hésitait entre rire de la situation ou s'en inquiéter, enfin non, il ne fallait préférer aucune des deux options pour l'instant ! En tous cas, ce n'était pas l'envie d'envoyer déguerpir la petite impertinente qui manquait, et puis, après tout, que pouvait il craindre ? Il avait tous les moyens de la faire taire ?! Non non, il se ravisa, laissant à Athénaïs la main mise sur la situation, mais n'avait jamais été aussi proche de quitter sa passivité*

*la bonne sentait que quelque chose se tramait là dessous et sa curiosité la poussait dans ses retranchements...*

-Voyez moi désolée que ce voyage se termine sur une telle fausse note Madame ; cette nouvelle doit être bien mauvaise au point de courber ainsi Monsieur le Marquis de tristesse et de lui avoir fait perdre l'usage de la parole...

*elle tentait de jeter un coup d'oeil derrière Athénaïs à la lueur de sa bougie aussi discrètement que possible afin d'apercevoir Louis Henry qui devait alors se trouver bien mal en point, ou alors ...

Ce ne peut être Monsieur le Marquis, mais qui est ce donc ?! Pourquoi un tel mystère ?

*l'envie de savoir, l'appel de l'interdit étaient plus forts que tout et la faisait rester là malgré les ordres qu'elle venait de recevoir, elle se sentait sur le point de ....*

*elle se pencha encore*

*Athénais commençait à perdre patience devant l'impertinence et la curiosité de la servante*

-Il me semble que nous n'avons point de compte à vous rendre !

*Voyant que celle-ci se penchait pour mieux voir l'homme à qui elle tournait le dos*

*Elle la prit alors par les épaules*

-Nous sommes très fatiguée, merci, encore une fois, de bien vouloir nous LAISSER !

*elle l'entraina alors vers la porte de sa chambre, sous les protestations de la bonne*

-Mais Madame...

*les mains d'Athénaïs tremblaient sur les épaules de la bonne*

HJ : je mets un peu plus de piquant ??

HJ: ouai allez! mdr

*Ca commençait à bien faire, les agissements de la bonne l'agaçaient au plus au point et son dernier geste pour se mettre au courant de ce qui se passait eu raison de son silence, ce qu'il regretterait peut être bientot, ou peut etre pas, Sa Majesté n'avait pas l'habitude d'éprouver un tel sentiment*

* Louis s'avança d'un pas et, sur le ton catégorique et sec qui accompagnait tout ordre, lança :*

-Cela suffit, retournez d'où vous venez et vite !

*Ces quelques mots claquèrent comme l'éclair et n'appelaient bien sûr aucune réponse si ce n'est leur mise en pratique...*

*Il se fichait des conséquences de cette petite phrase, la jeune femme l'avait irrité, elle était venue gâcher un agréable moment et s'était entêtée, ce qui était pire ! Il ne savait si il avait été démasqué, si elle avait compris cee qui était en train de lui arriver, qu'importe, c'était dit, il prendrait les mesures qui s'imposeraient, il parerait à la situation ce n'était pas cela qui allait l'effrayé après tout !

*il n'avait pas quitté la bonne des yeux, ce regard à faire palir tout interlocuteur, même le plus imperturbable, mais peut être que l'obscurité l'en avait protégé...*

*A ces mots, la bonne fut surprise, d'une part ne reconnaissant pas la voix du marquis, et d'autre part surprise que les premières paroles de l'homme caché dans l'obscurité soient si dures*

*Elle balbutia quelques mots*

-Mais;.. enfin...

*Athénaïs eut alors peur pour elle*

*elle lui parla d'une voix un peu plus douce mais qui laissait comprendre qu'elle n'avait pas du tout intérêt à désobéir*

-Allons, je vous en prie, retounrez-vous en, cela vaut mieux.

*Tout se mélangeait dans sa tête : Mme de Montespan venait de lui parler du marquis or non, elle avait beau y repenser, retourner cette phrase dans son esprit, les mots prononcés n'étaient pas ceux ce son mari*

*appeurée, elle ne s'attarda pas plus et fit mine de s'en retourner enfin, tout en bredouillant quelques excuses*

-Madame, je vous laisse, permettez moi de vous prier de m'excuser pour mon intrusion, qui ne voulait que votre bien... me voilà rassurée, je m'en vais de ce pas !

*mais son ton contrastait totalement avec ses propos...*

*et au lieu de retourner dans sa chambre pour se coucher, elle fit mine de s'éloigner, quitta la pièce, mais n'alla pas plus loin, elle se tapit dans l'encadrement d'une porte, les oreilles aux aguets, bien décçidée de savoir le fin mot de l'histoire*

*Louis, voyant la bonne partir, lâcha un soupir de soulagement et de satisfaction ; il ne savait pourtant comment reprendre le fil de leur conversation : la magie de l'instant avait été brisée...*

*du coup, ne s'est pas aperçue que la bonne était restée dans la pièce*

*tellement rassurée de la voir partir*

*se tourne vers Louis*

*tâche de sourire, soulagée*

-il était temps!

*essaie d'être rassurante*

-je suis navrée, Sire.

*Louis resta encore un peu dans l'ombre, se demandant si elle était bien partie ou non, il laissa la phrase d'Athénaïs en suspend, puis, ne se doutant de rien non plus, s'avança vers elle*

-j'ai bien cru que .... enfin .....

*il sourit en repensant à ce qu'ils venaient de vivre et ce à quoi ils venaient d'échapper ! Il n'y avait rien à ajouter, d'un regard ils se comprenaient...*

*entend ses excuses mais nepartage pas son avis*

-Allons, de quoi êtes vous donc navrée ? Vous n'y êtes pour rien !

*la voit baisser les yeux, lui relève alors le menton*

-En tous cas mon amie, vous pouvez être rassurée désormais, on veille sur vous et on veille bien, je ne vois pas ce qui pourrait vous arriver !

*Mais quand même, cela le chagrinait : il devrait se montrer doublement vigilant lors de ses prochaines visites, car oui il y en aurait d'autres... oh et puis il n'allait pas se laisser contrarier par une bonne, ah ça, non !!!*

*se fait relever le menton*

*tache de lui sourire, malgré l'inquiétude qui plâne encore en elle*

*a d'ailleurs encore le coeur qui bat la chamade*

-Sire, vous avez failli être reconnu par ma bonne qui se serait imaginé des tas de choses malhonnêtes par MA faute... si je n'avais pas été là, vous n'auriez eu nul besoin de me raccompagner... donc oui je me sens coupable.

*ne se doute pas que la bonne est cachée dans l'ombre et qu'elle a donc tout entendu XD*

*sourire amusé par sa réflexion*

-En effet, elle est très à l'affut et je ne donne pas cher de la personne qui me voudrait du mal en sa présence.

*petit rire*

-Elle était en fait au service de la famille de mon mari, et c'est pour le servir lui qu'elle agit ainsi avec moi.

*la bonne manqua de s'étouffer : qu'entendait elle là ? Le Roi ici ? Louis le quatorzième, Saint Louis... dans ... dans cet appartement, en compagnie de Mme de Montespan ?!!!! Avait on réellement prononcé ces mots, ou était ce encore un tour de son esprit un peu trop vagabond ? Etait ce possible ??? Elle avait du mal de retrouver un rythme de respiration normal ; elle prit alors de grandes bouffées, fermant les yeux ... puis les rouvrit... Elle se pencha un peu, elle devait absolument tout entendre, elle devait tout comprendre, et si cela était vrai, alors elle tenait ici un... ragot en or !!!!!!!!!*

*Louis lâcha doucement son menton, se retenant de lui caresser la joue : cette petite paumette mouchetée et maquillée à souhait, ni trop ni trop peu, se jouant des ombres et de la lueur de la bougie, était tout bonnement à croquer mais il l'effleura simplement, dans un geste faussement négligé..*

-Ma chère, je ne peux vous laisser porter seule ce méfait en fardeau... restons en donc sur le paisir de cette soirée sans que celui ci ne se transforme en culpabilité, iI serait fort fâcheux qu'un moment si agréable soit gâché de la sorte et pour une cause qui n'a pas été ...

*comprend le pourquoi du comment, cette révélation sonnait par ailleurs comme un avertissement sous entendu ; il fronça insensiblemet les sourcils : la prudence, la discretion étaient des mots qu'il connaissait bien, il se devrait à partir d'aujourd'hui et plus que jamais de s'en faire des amis de toute circonstances*

*fait un pas en arrière*

-Votre mari ?

*sa question raisonnait, comme si une pièce maitresse, oubliée, reprenait soudainement sa place : ce n'était pas "comme si", c'était bel et bien la réalité !

-Je vois que vous faites l'objet d'une surveillance très... rapprochée !

*n'ayant toujours pas remarqué que la bonne était toujours dans la pièce, sourit à Louis qui essayait de la rassurer*

*trouve son attitude adorable*

-Vous avez raison...

*baisse un peu la tête mais sans pour autant le quitter des yeux*

*un peu piquée par sa dernière phrase*

-Oh, je n'appellerai pas cela de la surveillance.... c'est simplement que mon mari se soucie de mon bien-être, alors il confie mes soins à sa domestique la plus dévouée...

*Louis est piqué de jalousie mais ne laisse rien transparaître : il est le Roi, il demeure fier*

*il trouve donc à tourner ce sentiment au travers d'un compliment, à comprendre en double sens...*

-Quelle chance pour une si charmante créature comme il en est pour la femme qui se trouve en face de moi à l'instant, d'avoir trouvé un si bon mari ! Que dis je, ue là, une chance ? un mérite plutôt !

*la bonne savourait son indiscretion et se délectait de ces paroles interdites...*

*Louis sentait le moment de s'en retourner approcher...*

-bien ...

*cette prhase en suspend laissait à Athénais le choix de prolonger ou non une nuit déjà bien avancée... Sa Majesté aimait à se faire désirer..*

*rougit de tant de compliments de la part du mponarque, mais heureusement xcela ne se voit pas (vive la nuit)*

-Oh Sire, comme vous me flattez... Mais ce mariage-là n'est pas cause edu mérite, mais belle et bien de la chance...

*repense à sa rencontrez avec Liuis-Henry au tribunal*

*petit soupir à peine audible*

*entend la phrase qui sonne la fin*

*n'ose pas le faire rester d'avantage... en fait, n'ose rien dire... mais après quelques secondes, se lance*

-SIre, je vous remercie de m'avoir raccompagnée...J'espère ne pas être la cause de votre fatigue demain matin...

-sachez Madame, que je ne suis pas de ceux qui opposent chance et mérite en disant que cette "chance, c'est ce que nous ne méritons pas" ; oh que non je suis bien de l'avis contraire !

*ne veut pas en dire plus pour... ne pas laisser éclater une jalousie naissante ?! qui sait...*

*était sur le départ.*

*La phrase d'Athé raisonne comme un ultime arrêt*

-Vous la cause de ma fatigue ? je préfèrerais la muse de doux rêves mais je ne veux pas forcer le destin... quoi que !

*sourit à la première phrase de Louis, le trouve intelligent, et aime bien sa façon de voir les choses*

-Je n'ai pas non plus dit celà... Je suis assez d'accord avec vous. Mais tout dépend de la situation.

*Se trouve alors assez surprise par sa dernière phrase.
S'en trouve d'ailleurs un peu génée. Sent les battements de son coeur s'accélérer.
Ne sait trop que répondre, tant elle est troublée... se contente de murmurer*

-SIre...

*Sans se l'avouer, Louis est complètement charmé par Athénaïs, sa première réponse, toute en nuance et ouverte au débat lui donna envie d'en savoir un peu plus sur une intelligence dont elle ne semblait pas être dépourvue ! Que dire du fait d'entrer à cette heure dans un débat philosophique ? et bien que justement le moment n'était que mal choisit*

*Ressent tout le trouble qu'elle peut éprouver, et sait qu'il a "fait mouche", ou tout du moins, le croit.. Le Roi aimait particulièremnt cette situation où il se faisait désirer... c'est pourquoi il décida de s'en retourner*

*en lançant à la volée*

-oui Madame, à tout à l"heure...