Entrevue avec le roi

* Habillée de sa robe bleu marine, légèrement en retrait derrière sa soeur, Hortense attendait. *

* Un vallet avait été prévenir le roi de leur arrivée. *

* Au départ elle avait été très contente de venir mais maintenant que le moment était venu de rencontrer le roi, l'angoisse lui nouait l'estomac. Elle n'avait jamais été sure d'elle comme les autres dames de la Cour et maintenant plus que jamais, ça ne jouait pas en sa faveur... *

* Mais de toute façon elle était venue pour soutenir sa soeur quoiqu'elle aurait préféré être en train de danser entre les nombreuses fleurs. *

* Le silence était pesant... *

*Marie arrive avec sa soeur a pas peur elle tien la main de sa soeur et une main sur ventre respire et attend que le roi les disent de rentré , elle avais peur de sa réaction quand elle allé lui dire qu'elle était enceinte de lui en tremblé mais essai de resté calme *

_on attends ma soeur que le roi nous donne l'ordre de rentré

*la regarde et même si elle aussi elle aurai préféré être dans les jardins mais elle avais pas le choix c'était aussi pour son enfant et pour pouvoir resté a Versailles *

*Le Roi venait d'être prévenu, il n'était que peu ravi de cette entrevue qui venait bousculer cette matinée déjà fort chargée... Il aurait préféré fixer à un jour autre cette visite, mais le valet lui mentionna que la requérante était ici, et acompagnée...*

*il lui donna l'ordre de les faire patienter un moment*

*le valet transmit cette disposition...*

* Hortense baissa la tête quand le valet vint les prévenir. *

* Elle sentit ses joues pâlir et son estomac se nouer. *

*Elles dérangeaient le roi de France alors qu'il était surement occupé...*

* La jeune femme aurait donné n'importe quoi pour être autre part à cet instant. *

*Marie elle n'avais pas peur du roi *

*regarde le valet *

_je doit voir sa Majesté c'est urgent c'est pour ma vie et pour autre chose s'il vous

*regarde sa soeur d'un aire triste*

* Hortense leva la tête et eut honte de sa peur. *

* Elle devait lui donner du courage, pas être un poids ! *

* Se redressant, elle serra sa soeur contre elle *

* Elle lui sourit *

- Je suis avec vous Marie.

* Après l'avoir embrassé sur la joue, elle prit sa main et regarda la porte du roi en respirant calmement *

HJ : Marie, est ce que tu pourrais faire attention à l'orthographe et faire attention aux usages et à l'étiquette de l'époque

DJ

*Le Valet avait des ordres clairs, et il savait que n'importe quelle parole s'y serait brisé sans que le moindre son de voix n'arrive jusqu'aux oreilles du Roi*

-Mesdames, avec tout le respect que je vous dois, il vous faudra attendre, Sa Majesté est fort occupé en ces jours où les affaires de l'Etat comptent des questions certainement toutes aussi importantes que votre demande...Je ne puis que vous accompagner de mes pensées dans votre patience. Celle-ci j'en suis certain, sera récompensée...

*Puis il s'en retourna, laissant Hortense et Marie seules dans la pièce*

*Le Roi devait terminer la rédaction d'un acte de la plus haute importance*

* Hortense hocha la tête. Au fond, elle savait que le valet avait raison mais elle n'allait pas contrarier sa soeur et préférait lui donner raison. Tenant toujours sa main entre les siennes, elle restait silencieuse.
Le silence était reposant comparée à la froideur de la voix du valet. La jeune fille se demandait si tout le monde ici, était comme le Duc de Beaufort ou si le roi serait plus comme le Duc de Saint Ange. Ces personnes à ses yeux étaient aussi différentes que pouvaient l'être deux humains.
Par politesse, elle se devait de penser qu'il serait un dieu. Parfait en tout point mais pour le coeur d'Hortense, lui, disait que ce ne serait qu'un homme comme les autres... Mieux habillé peut être... *

*Marie va s'assoit avec sa soeur attends et regarde le plafond essai de trouvé une occupation était stressé et tremble et regarde part le fenêtre et dis rien se lève d'un coup et fait les 100 pas*

_Hortense mon mari arrive dans 3 jours et si peur

*va dans les bras de sa soeur*

*Une heure passa, puis deux... Louis, enfermé dans son bureau, ne voyait pas le temps passé, et son problème ne trouvait pas de solution, il devait tout passer au crible : le contexte, ses ennemis, et peser à chaque fois la conséquence de tel choix...Il ne savait pas et son indécision le conduisait à être en colère contre lui même. Il était là ce qu'il détestait être : un homme sans avis ! Or, il se voulait être le plus grand Roi de tous les temps, il devait donc savoir...*

*Après avoir congédié le ministre qui était à ses côtés, il envoya valser la paperasse qui occupait son bureau et se prit la tête entre les mains... après avoir soupiré et reprit ses esprits, il se souvint que quelqu'un ou plutôt quelques unes l'attendaient... il réfléchit à reporter cette entreveue imprévue, mais la curiosité eu raison de cette première idée : il demanda donc à ce qu'on les fasse entrer... il réajusta sa veste, tout comme ses manches de dentelles, puis afficha un air serein : le paraître, encore et toujours... l'apparence devait être parfaite, quand bien même le reste ne l'était pas, il devait donner l'illusion, et pour cela, il n'avait aucun mal... il ramassa rapidement les papiers qui jonchaient le sol puis se rassit majestueusement dans son fauteuil.*

*Le même valet que tout à l'heure revint dans le petit salon pour les conduire jusqu'au Roi, il se demandait d'ailleurs si elles étaient toujours là... il eu vite sa réponse..*

-Mesdames, sa Majesté Louis la Quatorzième va vous recevoir, veuillez me suivre s'il vous plait...

*il leur fit un signe, elles ne devaient pas trainer...*

* En effet, les jeunes femmes bien têtues étaient restées durant plus de deux heures à attendre. Une légère colère et une frustration s'étaient dessinées sur le visage d'Hortense mais elle était têtue par dessus tout. Rassurant sa soeur sur le fait qu'il finirait par les laisser rentrer, elle avait finit par lui proposer de dormir un peu. Tendrement, elle avait donc caressé les cheveux de Marie, le temps qu'elle se repose. Hortense ne savait pas si elle avait dormi ou pas mais se dit elle, elle se sera reposée.

Quand le valet vint les chercher, elle embrassa sa soeur sur le front en la réveillant doucement. Elle l'aida à se lever et l'emmena doucement. *

- Nous devons y aller Marie. Il est l'heure.

* La soutenant avec tout l'amour qu'elle portait à sa soeur, elle suvit le valet. *

*Marie était fatigué et donc dormait dans les bras de sa soeur elle était resté deux heures avec sa soeur pour voir le Roi et elle était bien décidé a le voir entend pas le valet sans le bisou de sa soeur sur son front et se réveille doucement et se lève avec l'aide de sa soeur et suit sa soeur pour allé voir Louis*

_humm merci ma soeur allons voir sa Majesté venais

*sourit et voilais voir sa Majesté a tout pris *

*Le valet les conduisit jusqu'à une petite porte encore fermée, là il se retourna*

-Mesdames, comprenez bien là le caractère exceptionnel de la situation, il n'est pas dans les habitudes du Roi de bousculer de la sorte son emploi du temps, c'est pourquoi vous devrez être brèves...

*il appuya son regard sur chacune d'elles, se demandant ce qu'il pouvait y avoir de si important la dessous...*

*sur ses paroles, il ouvrit la porte, puis plongea dans une petite révérence*

*Louis était là, dos à elle puisque posté devant la fenêtre, bras croisés dans le dos, la lumière blanche du soleil en cette radieuse matinée faisait étinceler son costume d'or; il se tenait droit, majestueux là, contemplant la grande perspective...*

Hortense était incroyablement impressionée, éblouie même peut être par le Roi. Elle en perdait ses mots... Aurait elle dut le saluer ? Attendre qu'il se retourne ? Elle semblait un peu perdue...
Puis, tenant le bras de sa soeur, elle la soutint en avançant un peu pour être au centre de la pièce. Toutes les deux tournées vers le Roi, Hortense prit la parole après avoir fait une peu profonde révérence, n'obligeant ainsi pas sa soeur à se pencher.

- Sire, nous sommes désolée de venir déranger votre emploi du temps. Nous avons une nouvelle à vous annoncer. Bonne ou mauvaise, vous en jugerez par vous même.

La jeune femme semblait soudain avoir une certaine force de caractère. Elle avait une voix douce mais avec une légère fermeté qui démontrait sa force de caractère. Sachant que sa soeur n'aurait peut être pas la force d'annoncer cette nouvelle sans pleurer, elle le dit.

- Ma soeur, Marie Mancini attends un enfant de votre Majesté.

*rentre avec elle et se penche aussi vu que que sa soeur lui tien le bras et laisse parlé sa soeur elle sait bien aussi qu'elle aurai pas le courrage de le dire qu'elel attends a un enfants du roi et regarde sa soeur puis le Roi *

_oui Sir j'attends un enfants de vous mais mon mari Lorenzo ne le sait pas et il veux me faire revenir en Italie dans 3 jours et votre mére et mon oncle aussi Sir je veux pas partir d'ici mari et assai violent

*se retien de pleuré veux pas partir se rappelle du temps ou elle et lui était inséparale mais les temps avais bien changé depuis qu'elle c'était fait exielé *

*A peine fut-il interpellé par le "Sire" d'Hortense, dont il n'avait encore reconnu la voix, Louis se retourna, paisiblement, et fit enfin face aux deux jeunes femmes..*

*Et là, il en demeura coi : joie, incrédulité, stupéfaction, souci, nostalgie, il passait d'une sensation, d'une impression à une autre... ou.. non, il les vivait toutes à la fois.. Rien de tout cela ne transparaissait bien évidement : le Roi, maître dans l'art du paraître, de l'impassibilité, demeurait figé, le regard et le visage inexpressif et pourtant... pourtant il bouillonnait de l'intérieur...*

*Marie... sa Marie, sa belle, sa douce, son premier grand amour, celle qu'il avait dû exiler, était là, devant lui, de chair et d'os... les doux souvenirs se bousculaient, bientôt ternis par les plus amers et noirs... Balladé par ses pensées, il n'écouta qu à demi mot ce qui se disait... Il capta néanmoins quelques paroles au vol, mais là, il fronça les yeux, dans une incompréhension totale..*

-Que me dîtes vous là ? Marie vous.... mais cela est bien impossible... Cela fait maintenant une année que...que la force des choses nous a éloigné...

*Le mot "exil" n'avait pas pu être formulé, le souverain se rappelant douloureusement ce jour où il avait du céder, concéder, accepter le plus exécrable des conseils et en ordonner l'exécution... soit, l'important n'était pas là.. Il avait bien compris que Marie sollicitait son aide mais.. il n'entendait point sa cause première...*

* Tout semblait s'écrouler à présent pour la jeune Hortense. Les paroles du Roy l'avaient ébranlée. Cela voulait il dire que Marie, sa Marie, sa grande soeur, lui avait menti ? A elle ? Tout le monde la savait naïve mais est ce que sa grande soeur en avait vraiment profiter pour la ridiculiser ainsi devant le Roy ? *

* La jeune femme n'était habituée à la Cour et eut du mal à retenir ne serait ce que quelques instants les larmes qui avaient emplis ses yeux. *

* D'une voix tremblante, brisée par le chagrin, elle prit la parole. D'abord elle n'osait pas regarder sa soeur, puis elle leva les yeux vers elle, les larmes roulant sur ses joues. *

- Pourquoi m'avez vous menti ?! Vous Marie, de toute personne ! Comment avez vous put me faire ça ? Me ridiculiser ainsi et vous ridiculiser devant le Roy en plus !

* Ses mains crispées sur sa jupe, si elle n'était pas poudrée on aurait put voir à quel point elle était devenue pâle. Tout son corps tremblait et elle semblait sur le point de s'écrouler. Puis elle regarda le Roy dont elle croisa le regard. Elle détourna bien vite les yeux mais sa tête se mit à tourner et elle tomba au sol, le visage enfouit dans ses mains. *

* Ainsi, elle avait l'air d'une fée ou d'une sirène. Une nymphe peut être, abandonnée de ses semblables... *

* Quelques mèches étaient tombées de son chignon pour venir tomber devant son visage, ou plutot devant les mains qui cachaient son visage. La demoiselle se sentait totalement perdue et seule. *

hj je suis vraiment désolé j'ai fait attention je fErai gaffE promiS



*Marie regardA sa soeur, mais elle N'aimait que le roi et certe elle avaiT menti à sa soeur mais elle allait dire vraiment la raison pour être venue ici voir le roi *

_SirE je vous en priE de me pardonnER car je suis venue vous voir pour une autre chose bien plus importante c'est mon Mari vient me cherchER dans trois jours pour rentrER en Italie mais je ne veux pas partir même si les temps onT changé entre nous

*baisse la tête et se lance avant qu'il ne soit trop tard*

_je suis venue ici car mon mari est violent avec moi demandEZ à ma soeur je lui et montré mes coups je veux pas partir, je vous en priE SirE NE me laissEZ pas repartir en Italie c'est ma vie que je perdrai peut-être et celle d'un enfant qui n'est pas le votre je sais , SirE ou soit vous me laissEZ partir et vous NE me verrEZ peut-être plus, empêchEZ le

* verse des larmes et prend la main de sa soeur la serre et regarde sa soeur, s'en veuT *

_je suis désoléE ma soeur mais j'ai peur pardonnEZ moi je vous en priE je ne savais plus quoi faire je veux pas partir de Versailles