Travaille travaille

*Cela faisait un bon moment que Louis était enfermé dans son bureau : sitôt après la messe, il avait demandé à ce qu’on ne le dérange pas, qu’il avait à faire… Ce retour de Guerre des Flandres appelait une mise au point précise et quelques audiences particulières qu’il voulait préparer avec soin…
Il était plongé dans l’étude des nouvelles places fortes qui avaient été prises, grandissait d’heure en heure la nécessité de faire appeler Vauban mais aussi d'autres hommes qui s'était illustrés lors de cette bataille, pour certains d'ailleurs les remerciements s'annonçaient lus difficiles à aborder, mais il devrait faire fit de ses ressentiements purement personnels, il y parviendrait sans nul doute au prix de quelque effort...
Le temps filait sans qu’il ne s’en aperçoive, trop attaché à ses affaires !! *

* Voilé quelques temps que Marie- Thérèse n'avait pas vu son mari. Elle savait ou le trouver il était très pointilleux sur ses affaires et elle le savait. Elle décida qu'il état temps pour lui de faire une pause afin de se détendre et de penser un peu a autre chose. Elle arriva derrière la porte du bureau et demanda à un valet de l'annoncer*

*Louis leva la tête de sa paperasse lorsqu'un valet fit son entrée; il fut tout d'abord fort mécontent d'être ainsi dérangé alors que ses consignes avaient été plus que claires !*

*se radoucit quelque peu en prenant connaissance de la personne qui désirait le voir*

*rangea quelque papier et s'adessa au valet*

-bien faîtes la entrer ...

*recula son fauteuil et détendit ses jambes*

* Marie-Thérèse entra dans la pièce. Elle vit son mari derrière son bureau ce qui n'était pas une surprise pour elle.*

*Elle avança et sourit *

- Bonjour mon ami.

*révérence*

- Je suis confuse de vous déranger mais voilà des heures que vous êtes enfermer ici et je voulais savoir si vous seriez d'accord de me consacrer un peu de temps.

*il la regarda s'avançer, certes son épouse ne ménageait pas ses efforts pour se montrer sous son plus beau jour, tout comme acquérir les bonnes manières, néanmoins sa démarche en demeurait gauche et tout criait en elle qu'elle n'était pas faite pour ce beau monde...*

*néanmoins Louis fit, au prix d'un grand effort, bonne figure pour jouer l'époux attendri par une telle attention*

-ma chère, approchez approchez donc...

*il joignit le geste à la parole*

*oui il avait travaillé, il avait à faire et ne parut pas plus meurtri que ca d'avoir ainsi laissé la femme à qui une simple alliance le liait...*

-je n'ai vu les heures passées, et je vous prie de m'en excuser, je ne voulais point vous abandonner à l'ennui ! Aucune distraction ne vient elle égayer votre matinée ??

* Elle s'avançait vers lui comme il le lui demandait. Intérieurement elle pleurait. Elle aimait son mari d'un amour démesurer. Pour elle se mariage n'était pas qu'une simple alliance pour éviter une guerre. *

* Malheureusement pour elle, il ne l'aimait pas, il l'appréciait seulement. Pourtant elle essayait de faire des efforts mais à première vue cela n'était pas suffisant. Des distractions ? Quelle humour ! La plupart des gens restaient avec elle par obligaion ou par protocol. Elle en avait assez de faire des sourires forcer, elle préférait rester avec son mari afin de lui faire des sourires sincères.*

- Ce n'est rien je vous pardonne. Et bien pour tout vous dire il y a des gens dont je me passerais bien de leur compagnie.

*elle lui sourit*

- Et puis nous n'avons pas beaucoup l'occasion de passer du temps tous les deux.

*Louis savait pertinement les moqueries dont son épouse faisait l'objet de la part des courtisans sur des subtilités linguistiques de la langue française qui lui échappaient encore ou d'autres railleries sur son inculture relative... jusque là Marie-Thérése n'avait rien dit, or elle abordait ici le sujet et il ne pouvait plus l'ignorer bien qu'il l'aurait bien voulu *

-oh ma très chère, si quelque personne vous importunne faites le moi savoir, je le renverrai sur le champ ! Peut etre avez vous besoin de nouvelles dames de compagnies ? Pourtant, pour les avoir rencontré, elles m'ont semblées bien charmantes...

*cela était vrai également qu'il y a bien longtemps qu'ils ne s'étaient retrouvés en tête à tête, il en prenait tout juste conscience, prouvant bien là que ca lui était égal, contrairement à son épouse... il en avait était même soulagé, ayant pu plus librement rencontrer d'autres personnes qui avaient alors pris une place grandissante dans son coeur, mais qui commençaient elles aussi à diminuer , le temps passant...*

*affiche une mine désolée de façade*

-Vueillez m'en excuser ma tendre, c'est que le retour de guerre, le procès de Fouquet me demandent énormément et je dois regarder ces affaires personnellements...j'espère que vous ne m'en voudrez point...

HJ: Foufouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu!! ok je sors

HJ : he ho toi hein qu'est ce que tu fiches là !!! mdr !!!
ce grand fou n'a qu'à bien se tenir !!! foufou par ci, foufou par là, m'énerve clui la, i va voir !! ^^

hj: vous êtes folles xd

*Marie-Thérèse ne crut son mari qu'à moitier. Elle savait qu'il ne se souciait pas de ce qui pouvait lui arriver et encore moins que quelqu un lui fasse du tors. La preuve en était il n'avait pas prit la peine de prendre de ses nouvelles. Elle aurait pu être maldade qu'il s'en fichait. Elle aurait voulu que cette situation lui soit indifférante mais ce n'était pas le cas. Elle essayait néenmoins de lui sourire afin de lui faire croire que cela la laisser indifférante mais elle était mauvaise comédienne*

*Quand aux dames de compagnie bien sûr elles étaient gentilles mais Marie-Thérèse savait que la plupart de ses *DAMES* avaient passer par le lit du Roi avant d'arriver dans son salon . ça lui faisait mal. Elle aimait tant son mari. d'un amour démesurer .*

- Ce n'est rien mon ami je comprends tout à fait vos préocupations.

*Louis hésitait à se lever, il devrait alors sûrement faire un geste tendre envers elle, mais le moment ne lui semblait pas envore venu...*

-je vous sais très compréhensive mon amie, et je vous en suis grandement reconnaissant !

*la regarde, son air triste ne se cachait même plus derrière son sourire forcé, elle voulait faire bonne figure mais c'est comme si son coprs se rebellait à sa manière en ne suivant même plus les efforts de son âme... Louis la savait amoureuse, mais lui ne l'était pas, il avait beau essayé, il n'y parvenait pas ou plus... alors il prenait les choses comme elles venaient, au jour le jour, trouvant ailleurs le plaisir et la distraction dont il ne pouvait se passer ; néanmoins, il insista sur le sujet*

-je vois bien que quelque chose vous tracasse, dites moi tout : de quoi avez vous besoin ? qui est l'importun qui obscurssit vos journées ?

*il savait pertinnement ce dont elle avait besoin mais il n'était en mesure de lui offrir.. il savait aussi très bien qu'elle ne lui demanderait jamais clairement...*

* Elle en avait assez de passer ses journées a s'ennuier et la seul chose qui pourrait lui égayer ses journée serait d'avoir un autre s enfants. Louis était souvent en guerre ces temps-ci ce qu'il voulait dire qu'ielle s'ennuiait encore plus .*

* Elle savait qu'il détournerait le sujet comme il le faisait d'habitude mais cette fois ci elle ne le laisserait pas faire. Elle était determinée. Il la respectait et il était gentil avec elle mais cela ne lui suffisait pas*

- Je me sens bien seul malgré tout cette compagnie

*Elle espérait qu il lirait dans son regard*

**Louis ne pouvait lui reprocher grand chose : elle lui avait déjà donné trois enfants, bien que deux filles n'aient pas survécu, il restait Louis le Grand Dauphin, son fils et par là son successeur. Marie Thérèse avait donc donné un successeur à la France et il ne pouvait que lui être reconnaissant *

*il la voyait venir avec, à la place des petits souliers si joliment portés à la cour, de gros sabots des champs : il savait ce qu’elle venait lui demander… de l’affection, de la tendresse… qu’il était dur de se forcer lorsque la flamme ne brûlait en votre cœur… mais bon gré, mal gré, la voyant ainsi devant lui, si dépitée et perdue, il ne pouvait objecter aujourd’hui et ne pouvait la renvoyer sans ses appartements ! Il se leva donc, dans un petit soupir *

*il s’approcha doucement d’elle*

- vous ne trouvez donc point votre bonheur à la cour ??

hj: dans un peit soupir ? tu veux mourire toi xd

* Elle ne devait pas montrer ses émotions . Elle avait était éudquée comme ça mais la elle n'y arrivait plus. Elle avait énormément de pression dans cet endroit qu'ellle ne connaissait pas.Elle sentait les larmes monter et ne put s'en empêcher. Les larmes coukèrent sur ses joues*

- Oh veulliez me pardonner. J'aimerais tellement être digne de vous. Appréciez par vous. Je ne sais ce que je dois faire Louis.

**Grand Dieu elle l'avait appeler Louis !!! D'habitude elle l'appeler comme ça dans le peu de moment intime qu'ils avaient eu. Mais la elle relachait la pression et elle ne s'en rendit pas compte*

HJ : heeuuu nnaaaann !! mais.. même pas peur ^^
HJbis : c'est l'éclate entre eux deux !! lol..

DJ :

*Après avoir demandé à n’être cette foi ci dérangé sous aucun prétexte, se met tout à côté, l’entoure de ses bras *

*il était quand même peiné de la voir ainsi, par sa faute, mais que pouvait il ? Jouer la comédie une fois de plus… *

*Il n’avait même pas été surpris d’être appelé par son prénom, occupé par ses pensées *

*il se sentait bien désarmé face à elle *

-Ma douce, ne vous morfondez pas ainsi, vous êtes digne de moi et de la couronne, plus que vous ne le croyez ! Restez telle que vous êtes …

*il la serra un peu plus fort dans ses bras, après lui avoir tendu un mouchoir*

*Marie-Thérèse frissonna au contact des bras de Louis. Il ne lui fallait pas beaucoup pour être heureuse. Son mari ne la touchait jamais ou presque jamais. Elle savait qu'il lui disait tout ça pour la rassurer.*

*elle le regarda avec ses yeux pleins de larmes*

- Je suis le nuage du Soleil

*Il avait du mal aujourd'hui à soutenir son regard, peut etre parceque la vérité lui faisait face...*

*il ne relâcha pas son étreinte, et essaya de la convaincre encore*

-ne dîtes pas de sottises ! Voyons voyons !!

*prit un ton comme s'il grondait une enfant*

-quelle idée avez vous là !!! Vous êtes un de ses rayons !!!

*son regard était perdu dans le vague, contemplant le paysage qui s'offrait devant la grande fenêtre vers laquelles ils étaient tournés*

* Elle serra la veste de Louis entre ses doigts *

- Je suis désolée de vous causer tant de tracas.

* Elle se calma respirant son parfum.*

*Puis dit tout bas*

- Oh Louis pourquoi vous ne m'aimez pas ?

*il la sentit s'agripper à elle, ne dit rien, hocha simplement la tête*

*ne voulait pas lui avouer...*

-vous ne m'embêtez point, jamais... je veux simplement que vous alliez bien ...

*à sa dernière question, ne savait que répondre pour ne pas accentuer un mal déjà bien présent, alors il prit son visage entre ses mains et l'embrassa..*

* Elle était aux anges à ce moment là*

*Elle ne s'attendait pas à ce que Louis agisse de cette manière*

*Elle le laissa faire et voulut que le temps s'arrete *

*Puis elle lui caressa le visage*

- Pourquoi ne me répondez vous pas ?

*il avait agit sans même réfléchir*

*voulait à tout prix éviter de lui répondre*

*posa un doigt sur sa bouche et l'embrassa à nouveau*

*il ne pouvait cependant s'empecher de penser : à son avenir avec elle, à Marie, Louise... comment cela allait il finir ? Il ne pouvait pas renoncer à ce mariage ! et pourtant ils étaient malheureux tous les deux... mais pour la France, ses terres il mettrait l'homme de côté pour ne laisser agir que le Roi...*

*Marie-thérèse finit par prolonger les baisers de son mari*

* Elle aurait tellement voulut qu'il l'aime avec sincérité. Elle savourait chaques instants et se dit que c'était dommage qu'ils ne soient pas dans leur chambre à coucher*

*Elle avait envie de lui plus que tout*

HJ : ou comment évoquer un sous entendu lol...

DJ :

*Louis se laissait gagner par ce baiser, toujours absent... il sentait sa femme plus amoureuse que tout mais pour une fois, ne partageait pas ce sentiment de passion avec une femme...*

*il l'attira un peu plus près d'elle, lui caressant les cheveux, toujours sans mot, mais que pouvait il dire de toutes façons ??*

*sa peau était douce, frêle, son cou délicat... pourquoi lui était il si réticent ??!!*

* Marie-Thérèse profitait de chaques instants. Louis la touchait tellement rarement que ses moments était unique. Elle avait l'impression de rêver *

*Elle lui caressa le visage avec un regard rempli de reconnaissance*

*il croisa son regard, il savait ce qu'elle attendait et par ses gestes qu'il lui faisait plaisir, c'était déjà une moindre consolation*

*il prit sa main dans la sienne, y déposa un baiser*

*puis l'attira contre lui en l'embrassant de nouveau, descendit sur son décolleté*

*puis il lui reprit la main, l'entraîna dans le cabinet jouxtant le bureau, ils y seraient plus tranquilles...*